Support technique
ON VOUS SIMPLIFIE L'EPI !
Veuillez trouver ci-dessous nos aides aux choix par catégorie de produits.
En cas de doute, n’hésitez pas à nous contacter.
CRITÈRES DE CHOIX
Le choix d’un gant est un compromis entre un niveau de protection nécessaire, défini à l’occasion d’une analyse de poste, un niveau de confort souhaité et, plus que le simple coût d’achat, un coût d’usage (durabilité, productivité).
Notre catalogue a été conçu afin de vous permettre de trouver le gant le plus adapté à la protection recherchée. Nous vous proposons plusieurs étapes pour identifier les différents critères dans le choix du meilleur gant.
IDENTIFIER ET CLASSIFIER LES RISQUES POTENTIELS
DÉFINIR LE TYPE DE GANT QUI CONVIENT LE MIEUX À VOS BESOINS EN TERMES DE:
NIVEAU DE PROTECTION SOUHAITÉ : En fonction des tâches réalisées.
TYPE DE TRAVAIL : Travaux de précision ou manutention générale voire lourde. Cela déterminera le niveau de dexterité.
ENVIRONNEMENT : Milieu sec, légèrement huileux, huileux ou encore humide. Cela déterminera la nature chimique de l’enduction.
CONFORT ATTENDU : Il pourra être fonction de la durée de port (court, permanent ou intermittent), de la respirabilité ou encore de la souplesse attendue. Il permettra d’améliorer la productivité.
SÉLECTIONNER LE PRODUIT LE PLUS ADAPTÉ EN VOUS AIDANT DES DONNÉES TECHNIQUES QUI PRÉCISENT POUR CHAQUE PRODUIT LE DOMAINE D’APPLICATION ET LES AVANTAGES
CARACTÉRISTIQUES D’UN GANT
LES DIFFÉRENTS TYPES D’ENDUCTION
LA NATURE DE L’ENDUCTION
LA FINITION EXTÉRIEURE
LA FINITION INTÉRIEURE
LES DIFFÉRENTS TYPES DE MANCHETTES : FINITION DU POIGNET
QU’EST-CE QUE LA JAUGE ?
LA MATIERE
ET AUSSI…
Le taillant, l’épaisseur, la longueur et la forme (ambidextre ou anatomique) sont autant d’éléments permettant de décrire un gant.
CRITÈRES DE CHOIX
Les blessures aux pieds représentent environ 7 % des accidents du travail :
- Traumatismes tels que perforations, écrasements et lacérations.
- Blessures résultant de glissades, de faux mouvements et de chutes.
Il est impossible de tenir debout, marcher ou courir sans pieds. C’est une des mécaniques les plus importantes de notre corps. Ils en supportent le poids et amortissent les chocs au contact du sol. Il est donc primordial d’en assurer leur protection et leur confort.
Le choix de chaussures de sécurité adaptées repose sur trois critères majeurs :
- Les risques encourus.
- L’environnement de travail.
- Le niveau de confort requis.
TECHNOLOGIES ET MATÉRIAUX
Les chaussures et bottes de sécurité de la gamme Coverguard® sont fabriquées à partir detechnologies et de matériaux de qualité, selon un design moderne.
Conçues pour protéger vos pieds des risques encourus sur votre lieu de travail, la gamme Coverguard® vous assure un confort adapté à votre environnement
intérieur et/ou extérieur en toute saison.
Tous les produits de la gamme Coverguard® satisfont les exigences relatives à la norme EN ISO 20345 : 2011.
TIGE
La tige est la partie du “dessus” de la chaussure ou de la botte. Destinée à protéger le pied, elle est fabriquée à partir de matériaux naturels tels que le cuir et/ou de matériaux synthétiques.
DOUBLURE
La doublure est la matière située à l’intérieur de la chaussure, en contact direct avec le pied. Elle permet notamment de protéger les coutures intérieures et d’accroître ainsi la durée de vie de la chaussure. Fabriquée à partir de différents textiles, la doublure assure également la respirabilité et le
confort de l’utilisateur.
EMBOUT DE PROTECTION
L’embout de protection se situe à l’avant de la chaussure, entre la tige et la doublure. Il sert à protéger les orteils contre d’éventuels risques de chocs ou d’écrasement. Il peut être métallique (acier ou aluminium) ou composite (fibre de carbone, fibre de verre, plastique).
PROTECTION ANTI-ÉRAFLURE
Les protections anti-éraflures, quand elles existent, se situent à l’avant et à l’arrière de la chaussure ou de la botte. En renforçant la résistance de la tige à l’usure, elles permettent d’accroître la durée de vie du chaussant. Elles peuvent être en cuir, stark®, TPU ou KPU.
SEMELLE ANTI-PERFORATION
La semelle anti-perforation, en acier ou en textile, se situe sous la semelle de propreté. Elle est fixée de telle façon qu’il est impossible de la retirer sans sérieusement endommager la chaussure de sécurité.
SEMELLE DE CONFORT (PREMIÈRE DE PROPRETÉ)
Amovibles et souples, les semelles de propreté apportent un complément d’hygiène, de confort climatique et d’absorption des chocs.
Mousse HI-POLY, EVA, insert silicone ou fibre de bois contribuent à la technicité de ces composants indispensables au confort du porteur.
SEMELLE DE CONFORT (PREMIÈRE DE PROPRETÉ)
La semelle extérieure peut-être composée d’une seule semelle (mono densité) ou de deux (double densité) : une semelle d’usure en contact avec le sol et une semelle intermédiaire située entre la semelle d’usure et la semelle anti-perforation.
Ces semelles peuvent être soit collées à la tige, soit moulées directement sur la tige, par injection.
TEXTILES
LES FIBRES
Pour qu’une matière soit textile, il faut qu’elle permette notamment la réalisation de fils. Les fibres textiles entrant dans la composition des vêtements de la gamme Coverguard® se classent en deux catégories : Les Fibres Naturelles d’origine végétale comme le Coton et les Fibres Synthétiques créées chimiquement comme le Polyester, le Polyamide, l’Acrylique ou l’Elasthanne.GRAPHÈNE
QU’EST-CE QUE C’EST ?
Le graphène tient son nom du graphite, minéral naturel, dont il est un dérivé (exemple: les mines de crayons). Il est la couche de graphite la plus fine imaginable: ce matériau 2D totalement invisible est constitué d’une seule épaisseur d’atomes de carbone liés sous forme d’hexagones (versus plusieurs feuillets pour le graphite). Le graphène est le matériau le plus léger, le plus résistant et le plus conducteur identifié à ce jour.SOUS QUELLES FORMES?
Le graphène est majoritairement utilisé sous formes d’encres dans l’univers textile comme sur le revêtement de la membrane de notre modèle PYTHON: quelques atomes seulement peuvent lui conférer ses propriétés.SES PROPRIÉTÉS
- Conducteur thermique/Thermorégulant (jusqu’à 5 300 W m−1 K−1 ) : distribue uniformément la chaleur grâce à la liaison de ses atomes
- Temps chaud: Il dissipe la chaleur corporelle selon l’environnement et l’activité physique.
- Temps froid: il transmet la chaleur des zones chaudes aux zones plus froides
- Plus le graphène sera proche de la peau plus il sera performant pour réguler votre température (+/- 2°C en moyenne)
- Bactériostatique: il réduit la formation des odeurs dues à la transpiration en stoppant la prolifération des bactéries
- Résistant: 200 fois plus résistant que l’acier tout en étant ultra flexible (Les atomes sont fortement liés entre eux)
- Léger: ajoute des propriétés au vêtement sans l’alourdir. Quelques grammes suffisent !
- Conducteur électrique: possibilité de développement de textiles intelligents (ex: impression 3D de batteries à l’encre de graphène)
- Antistatique: le graphène étant conducteur il permet de dissiper les charges électrostatiques
- Non-polluant: peut produire part lui-même de de l’énergie naturellement (sans additifs)
ENDUCTION
QU’EST-CE QUE L’ENDUCTION ?
L’enduction est un procédé de dépose d’un enduit (matériau plastique) en surface d’un tissu pour lui attribuer des caractéristiques qui ne lui sont pas intrinsèques.- On parle de couche d’enduction
- Elle a un rôle barrière
- Fixe les fibres : plus grande résistante à l’abrasion et au vieillissement
- Permet la déperlance, l’étanchéité
- Protection contre les intempéries
- Isolation thermique : chaud ou froid
- PVC : Souplesse, résistance aux UV / Effet plus plastique
- PU : Bonne résistance à la traction et déchirure / Plus chère
SOFTSHELL
Une Softshell a pour objectif de trouver un équilibre entre la respirabilité et une imperméabilité face aux faibles intempéries. 3 types de Softshell :- 3 couches : 1 couche extérieure + 1 membrane laminée imperméable et respirante + 1 couche intérieure laminée polaire pour l’apport de chaleur. Ex : Environnement frais
- 2,5 couches : 1 couche extérieure + 1 membrane imperméable et respirante laminée + 1 film protecteur de la membrane. Ex : Environnement chaud/ mi-saison
- 2 couches : 1 couche extérieure + 1 membrane imperméable et respirante laminée + 1 doublure suspendue pour le confort (mesh). Ex : Environnement chaud/ mi-saison
LA TECHNOLOGIE SORONA®
SORONA® : UNE ALTERNATIVE DE CHOIX AU DUVET DuPont™ Sorona® est un produit innovant, fait en partie de fibres polyester issues de matières renouvelables. Cette technologie est choisie pour créer des produits isolants performants et de longue durée. Sorona® est plus efficace, à poids égal, sur de nombreux points qu’une ouate polyester premium :- Meilleure préservation de la chaleur en atmosphère sèche et humide : +7% optimisation du rapport poids/chaleur
- Plus de légèreté – Meilleur remplissage : +36%
- Moins de matière pour procurer la même chaleur
- Moins encombrant
- Compression et récupération :
- Meilleure taux de compression : +8% (65% vs 60%)
- Taux de récupération = 96%
- Plus de souplesse dans les mouvements
- Séchage rapide : Bonne respirabilité
- Issus de matières renouvelables : 37% (en poids) de végétaux renouvelables chaque année
LA TECHNOLOGIE 37.5®
AUGMENTE L’ENDURANCE : UTILISER MOINS D’ÉNERGIE POUR EFFECTUER LA MÊME QUANTITÉ DE TRAVAUX- Naturelle : minéraux volcaniques actifs intégrés à la fibre
- Permanente : les particules actives 37.5® ne disparaissent pas au lavage
- Thermorégulatrice : maintien du corps à la température idéale de 37,5°C
- Confort : évacue la transpiration avant la formation de la sueur
- Stabilise le taux d’humidité à 37,5%
- Piège les odeurs et les libère lors du lavage
- Récupère l’énergie pour réchauffer le corps
IDENTIFIER LA PROTECTION RESPIRATOIRE APPROPRIÉE À SON USAGE
EVALUATION DES RISQUES RESPIRATOIRES
Basée sur la directive 2004/37/CE, la directive (UE) 2019/983, qui entre en vigueur en juillet 2021, prévoit un abaissement des valeurs limites d’exposition de certains agents cancérigènes ou mutagènes au travail. Elle fixe un cadre de principes généraux permettant aux États membres d’appliquer uniformément les prescriptions minimales. En outre, la directive 2004/37/CE n’empêche pas les États membres d’appliquer des mesures supplémentaires, telle qu’une valeur limite biologique.
La norme européenne EN 529:2005 montre comment sélectionner l’appareil respiratoire approprié sur la base de l’évaluation des risques. Cette norme indique le «facteur de protection» qui est par définition le paramètre qui exprime le rapport entre la concentration du contaminant dans l’environnement et sa concentration à l’intérieur de l’appareil respiratoire. Une distinction importante concerne le facteur de protection nominal (FPN) et le facteur de protection attribué (FPA).
Le facteur de protection nominal (FPN) est un nombre dérivé du pourcentage maximal de perte totale (vers l’intérieur de l’appareil respiratoire) autorisé. L’intérieur de l’appareil respiratoire) autorisé par les normes européennes.
Le facteur de protection assigné (FPA) est le niveau de protection respiratoire que l’on peut raisonnablement attendre sur le lieu de travail de la part de 95% des utilisateurs d’EPI.
En outre, une référence importante pour le choix de l’appareil respiratoire est la valeur limite d’exposition (VLE) qui indique les concentrations environnementales de substances chimiques en suspension dans l’air en dessous desquelles la plupart des travailleurs peuvent rester exposés de manière répétée jour après jour pendant leur vie professionnelle, sans aucun effet négatif sur leur santé.
NORMES
NOS MASQUES NON RÉUTILISABLES (NR)
L’ensemble de nos masques non réutilisables sont testés contre les allergies et ne doivent pas être utilisés dans les environnements où la concentration l’oxygène est inférieure à 17% Vol.
Ils offrent les bénéfices suivants en fonction des exigences de chaque utilisateur.
PERFORMANCE
QUELLE PROTECTION FFP CORRESPOND À VOTRE USAGE ?
NOS MASQUES RÉUTILISABLES (R)
Utilisation uniquement lorsque O2 > 17%
NIVEAU DE PERFORMANCE DES FILTRES À GAZ
Pour porter une pièce faciale telle qu’un masque complet ou un demi masque, il est nécessaire de veiller à la bonne continuité du joint facial.
Les hommes seront correctement rasés; on évitera l’interposition de cheveux, de barbes ou de branches de lunettes (sinon, le facteur de protection sera diminué).
LA PERFORMANCE AU SERVICE DU CONFORT D’USAGE
Les protections respiratoires Coverguard les plus évoluées bénéficient de fonctions abouties qui répondent aux attentes les plus exigentes.
ERGONOMIE ABOUTIE
LES FILTRES DES MASQUES À CARTOUCHES
LES FILTRES À GAZ
Protègent contre les gaz et vapeurs toxiques.
TEST DE LONGÉVITÉ D’UN FILTRE À GAZ
La longévité d’un filtre à gaz est testée par l’application d’un débit de gaz d’essai à 30 L/min, soit le volume d’air respiré par minute par une personne de corpulence moyenne effectuant un travail moyennement difficile. Elle peut aussi être grossièrement calculée en rapportant la concentration sur le site au temps de pénétration minimum requis pour le type de filtre en question.
CALCUL DE LA LONGEVITE D’UN FILTRE ANTI-GAZANT
DOMAINE D’UTILISATION
A
Gaz et vapeurs de composés organiques au point d’ébullition > 65 °C
Exemples d’hydrocarbures particuliers: toluène, benzène, xylène, styrène, térébenthine, cyclohexane, tétrachlorure de carbone, trichloroéthylène. Certains solvants sont souvent utilisés sous forme de mélanges, comme des
solvants à base de benzène, essences minérales, térébenthine minérale, white spirit, solvant naphta.
Autres composés organiques : diméthylformamide, phénol, alcool furfurylique, alcool de diacétone.
Mais aussi certaines matières premières et certains additifs du plastique, comme les phtalates, résines phénoliques, plastiques époxydiques et polychlorobiphényles sous forme d’isomères du PCB.
AX
Gaz et vapeurs de composés organiques au point d’ébullition > 65 °C
B
Gaz et vapeurs inorganiques
Par exemple: dioxyde de sulfure, chlore, sulfure d’hydrogène (H2S), cyanure d’hydrogène (HCN), gaz chlorhyrique (HCl), composés du cyanure, phosphore et acide phosphorique.
E
Acides organiques, gaz acides et généralement acides gazeux, comme l’acide nitrique, acide propionique, acide formique.
K
Ammoniac et dérivés organiques de l’ammoniac aminés organiques tels que méthylamine, éthylamine, éthylènediamine, diéthylamine.
P
Particules, aérosols solides et liquides
HG
Mercure
NO
Vapeurs Nitreuses et dioxyde d’azote
CO
Monoxyde de carbon.
LES FILTRES DES MASQUES À CARTOUCHES
LES FILTRES À PARTICULES
Protègent contre les particules solides et liquides telles que poussières, fumées, fumées de soudage, brumes, microorganismes et particules radioactives.
- Le filtre ne s’use pas mais peut être bouché sous l’effet des particules et l’humidité résultant d’une résistance à la respiration accrue.
- Contre les substances radioactives, et les microorganismes, il est recommandé de n’utiliser un filtre à particules qu’une seule fois.
- Un filtre à particules doit être remplacé lorsqu’il devient difficile de respirer.
FILTRES À PARTICULES
- Poussières : particules solides aéroportées générées au cours du traitement de matières organiques et inorganiques. Elles peuvent être constituées de minéraux, de charbon, de bois ou de céréales comme de fibres diverses (amiante, silicate, fibre de verre, etc.).
- Gaz de fumée : particules métalliques générées par le refroidissement d’un métal évaporé et son oxydation au contact de l’oxygène de l’air. Des gaz de fumée d’oxyde de plomb, par exemple, sont produits par la fonte du plomb. Des gaz d’oxydes de fer et d’autres métaux sont produits au cours du soudage.
- Fumées : particules fines de charbon et de suie incorporant des gouttelettes liquides.
- Brouillards : gouttelettes aéroportées formées par la dispersion d’un fluide dans l’air sous la forme de fines particules. Exemples: brouillards d’huile dus à l’usinage du métal, lors de la coupe ou du meulage.
- Micro-organismes : par exemple, bactéries, virus, spores.
- Particules radioactives : sont produites par la radiation.
LES FILTRES COMBINÉS
Les filtres combinés arrêtent à la fois les gaz et vapeurs, ainsi que les particules. L’air traverse d’abord les éléments filtrant les particules puis ceux absorbant les gaz. L’élément filtrant stoppe les particules qui se propagent telles que les goutellettes de peinture. La vaporisation de liquides requiert
l’emploi de filtres combinés.
LA PERFORMANCE AU SERVICE DU CONFORT D’USAGE
Les protections optiques Coverguard les plus évoluées bénéficient de fonctions abouties qui répondent aux attentes les plus exigeantes.
CONFORT VISUEL
STABILITÉ POUR UN PORT DE LONGUE DURÉE
COMMENT IDENTIFIER LE NIVEAU DE PROTECTION ET DE PERFORMANCE ?
SIGNIFICATION DES MARQUAGES
Les protections optiques Coverguard revendiquent une classe optique 1 pour un port permanent.
MARQUAGE OBLIGATOIRE
MARQUAGE OPTIONNEL
MARQUAGES DÉFINIS SELON L’USAGE
IDENTIFIER LE TYPE DE PROTECTION AUDITIVE RECOMMANDÉE SELON LE BRUIT
L’INTENSITÉ DU BRUIT DOUBLE TOUS LES 3 DÉCIBELSCHOISIR LA PROTECTION ADAPTÉE
Il convient de prendre en compte les paramètres suivants :- Identification de la nature du bruit : stable, fluctuant, intermittent, impulsif
- Mesure du bruit sur le lieu de travail : Intensité en (dB) et volume (Hz)
- Définition du temps d’exposition
- Calcul du niveau d’atténuation requis
Une protection dont la performance est supérieure au besoin de l’opérateur risque de l’isoler de son environnement de travail.
LES OBLIGATIONS DE L’EMPLOYEUR
Sur le lieu de travail, les valeurs limites d’exposition au bruit, qui ne doivent pas être dépassées, sont généralement de 87 décibels (dB) pour un niveau d’exposition quotidienne ou hebdomadaire, en tenant compte de l’atténuation assurée par les protecteurs auditifs.
Les valeurs d’exposition déclenchant l’action, c’est-à-dire les niveaux de décibels à partir desquels un employeur est tenu de prendre des mesures, sont fixées à 80 dB (valeur inférieure) et 85 dB (valeur supérieure) pour un niveau d’exposition quotidienne ou hebdomadaire.
EXIGENCES ESSENTIELLES VISANT LA PROTECTION DES RISQUES LIÉS AU BRUIT SUR LE LIEU DE TRAVAIL
COMPRENDRE LES INDICES D’ATTÉNUATION
BÉNÉFICIER D’UN NIVEAU DE PROTECTION SUPÉRIEUR AVEC UNE DOUBLE PROTECTION
Le port d’une double protection auditive (serre tête plus bouchons d’oreille) peut s’avérer nécessaire lors de l’exécution de travaux particulièrement bruyants 120 dB et plus). Des études ont mis en évidence que l’affaiblissement fourni par les appareils combinés était inférieur à la somme des affaiblissements procurés par chacun d’eux. Ceci s’explique par le couplage mécano acoustique qui existe entre les appareils mais aussi, plus particulièrement aux fréquences élevées,par un plafonnement dû au passage du son par conduction osseuse et qui vient, en quelque sorte, “court circuiter” la protection, aussi importante soit elle.
Les affaiblissements maximaux des essais de combinaison de bouchons d’oreille et serre tête atteignent des valeurs proches de 40 dB.
LA PARTICULARITÉ DE L’INDUSTRIE ALIMENTAIRE
Les travailleurs de l’industrie alimentaire ont des besoins particuliers :- Bonne protection auditive.
- Traçabilité du bouchon en cas de chute dans une préparation .
Les bouchons 30210, 30211 et 30212 possèdent une bille de 2.75 mm de diamètre en acier inoxydable dans la tige qui peut être tracée grâce à un détecteur métallique. La couleur bleue, seule couleur non classifiée «alimentaire».
COMMENT CHOISIR LA BONNE PROTECTION DU CRÂNE?
Travail en intérieur- Choc contre un objet dur immobile pouvant provoquer des lacérations, des blessures superficielles ou un assommement
Travail en extérieur
- Choc contre un objet dur immobile pouvant provoquer des lacérations, des blessures superficielles ou un assommement
- Chute d’objets ou charges en mouvement ou suspension
RAPPEL DES BONNES PRATIQUES
- Préférer le maintien et l’équilibre sur la tête plutôt que le poids réel.
- Favoriser une coiffe en textile plutôt qu’une coiffe en plastique qui est conductrice des effets de température.
- Contrôler toujours la durée de vie de votre casque.
Toute protection ayant subie un choc DOIT être immédiatement remplacée. En effet, cette dernière peut perdre une grande partie de son efficacité.
EXIGENCES NORMATIVES POUR LA PROTECTION DU CRÂNE
GUIDE DES MATIERES
SPUNBONDED POLYPROPYLÈNE OU SPP
Dans ce processus, des granules de résine de polypropylène sont fondues puis ensuite extrudées à travers des filières obtenant ainsi des filaments continus qui sont refroidis puis déposés de façon aléatoire sur un tapis de réception pour former une bande de textile uniforme.
Ces fibres sont assemblées par une combinaison d’enchevêtrement et par thermo soudage (sans ajout d’aucun produit chimique).
Ce procédé du Spunbonded présente l’avantage de donner aux non-tissés une grande souplesse, une résistance à la traction et une grande respirabilité.
SPUNBOND MELT-BLOWN SPUNBOND OU SMS
Spunbond Melt-blown Spunbond ou SMS est un textile trilaminé composé d’une couche de polypropylène non tissé (Spunbond Polypropylène ou SPP), d’une couche de polypropylène soudés thermiquement (Polypropylène Melt-blown) et d’une couche de polypropylène non tissé (Spunbond Polypropylène).
La technique du MELT-BLOWN consiste à souffler de l’air chaud sur une résine thermoplastique fondue extrudée à travers une filière linéaire contenant des centaines de petits trous afin de former une bande non tissée auto-collée à fibres très fines. Sa principale caractéristique est qu’il s’agit d’une fibre extrêmement mince. En conséquence, ce matériau est souvent utilisé comme filtre pour l’air, les liquides et les particules.
Lorsque le MELT-BLOWN est superposé avec le SPUNBOND pour former le SMS, les fonctionnalités de chacun sont alors combinées permettant ainsi une plus large gamme d’applications.En effet, la combinaison de ces 2 matériaux permet de combiner les caractéristiques et de compenser les faiblesses de chacun (exemple : résistance mécanique limitée du MELT-BLOWN). Le SMS possède d’excellentes propriétés physiques ainsi que des qualités de barrière contre les particules solides et les éclaboussures de produits chimiques tout en conservant une bonne respirabilité.
Microporeux
MICROPOREUX est un textile composé d’une couche de SPUNBOND POLYPROPYLENE recouverte d’un film microporeux laminé en polyéthylène.
Ce procédé permet de combiner un maximum de respirabilité, de confort et un haut niveau de protection chimique, biologique et contre les particules. Textile résistant, traité antistatique et non pelucheux.
DUPONT™ TYVEK®
DuPont™ Tyvek® est un matériau non tissé fabriqué exclusivement par DuPont. Il est constitué de filaments purs de polyéthylène haute densité disposés de manière aléatoire et comprimés pour former un textile polyvalent à la fois extrêmement résistant à la déchirure, très léger et doux. Il est perméable à l’air et à la vapeur d’eau mais repousse les liquides aqueux et les aérosols. Il forme une barrière de protection excellente contre les particules fines et les fibres.
Il produit très peu de peluches et bénéficie également d’un traitement antistatique.
TECHNOLOGIE DE COUTURES
COUTURES SURJETEES
Cette technique confère une résistance mécanique robuste des coutures tout
en offrant une protection contre les éclaboussures légères et contre les particules sèches.
COUTURES COUSUES ET RECOUVERTES D’UNE BANDE THERMOCOLLEE
Les coutures internes sont recouvertes d’une bande thermocollée permettant une étanchéité optimale contre les poussières très fines, les liquides sous forme de brouillard ainsi que les projections intenses de liquides.
PRINCIPES GÉNÉRAUX DU TRAVAIL EN HAUTEUR
Lorsque l’on parle de travail en hauteur, la première image qui nous vient est généralement celle d’une personne utilisant un harnais de sécurité, c’est-à-dire un Système d’Arrêt de chute.
C’est en réalité la dernière méthode à considérer lors de la planification de la prévention. Il faut avant toute chose essayer d’éliminer le risque de chute, conformément aux 9 principes généraux de prévention inscrits dans le Code du travail (article L. 4121-2).
ÉVITER le Travail en Hauteur – il s’agit de supprimer le risque de chute en travaillant au sol autant que possible, en utilisant des outils téléportés plutôt qu’une échelle, en abaissant une machine au sol avant de travailler dessus, ou par exemple utiliser des drones pour avoir des prises de vue du dessus…
Cela peut nécessiter la modification du poste de travail ou du mode opératoire pour que le besoin de travailler en hauteur soit éliminé.
EMPÊCHER la chute en utilisant des Équipements de Protection Collective comme des plateformes, passerelles, garde-corps, échafaudages, …
EMPÊCHER la chute en utilisant des Equipements de Protection Individuelle système de retenue pour empêcher la personne d’accéder à une zone à risque de chute de hauteur.
La logique de la hiérarchie des mesures de prévention privilégie les installations permanentes plutôt que temporaires dans la protection collective. De même, les EPC priment sur les EPI.
LIMITER la distance et les conséquences de la chute en utilisant un système de Protection Antichute qui est plus précisément un système d’Arrêt de Chute. Il est constitué d’un harnais antichute, d’un élément de liaison antichute et d’un point d’ancrage, destiné à minimiser la distance de la chute et ses conséquences (notamment la force choc).
Les EPI Antichute n’empêchent pas la personne de chuter, par conséquent les systèmes d’arrêt de chute sont la moins bonne des solutions de prévention des travaux en hauteur.
Le recours à des EPI Antichute ne peut être envisagé que dans les cas où il n’est pas possible de modifier le poste de travail pour des plans plus adaptés comme des plateformes individuelles, ou bien de mettre en place des équipements collectifs.
Les systèmes Antichute limitant la distance de chute au maximum sont à prioriser : par exemple utiliser un point d’ancrage situé directement au-dessus de la tête avec un antichute à rappel automatique plutôt qu’une longe à absorbeur connectée au niveau des pieds.
COMMENT BIEN METTRE SON HARNAIS
ÉTAPE 1 – PRÉPARATION : Videz vos poches, en cas de chute le moindre petit objet peut provoquer une blessure. Inspectez votre harnais : contrôler son état et repérer l’anneau dorsal.
ÉTAPE 2 – BRETELLES : Saisissez le harnais par le point d’accrochage dorsal et démêlez les sangles. Vérifiez que les sangles ne sont pas vrillées et enfilez votre harnais comme une veste.
ÉTAPE 3 – SANGLE THORACIQUE : Fermez la sangle thoracique et ajustez-là.
ÉTAPE 4 – CUISSARDES : Fermez les boucles des cuissardes et ajustez de manière à pouvoir glisser la main mais pas le poing.
ÉTAPE 5 – AJUSTEMENT : Ajustez parfaitement votre harnais, un harnais bien ajusté vous évitera des blessures en cas de chute. Ce dernier doit donc être bien serré tout en demeurant confortable. Le point d’accrochage dorsal doit se situer entre les omoplates. Réajuster les bretelles et les cuissardes.
LES DIFFÉRENTS POINTS D’ACCROCHAGE D’UN HARNAIS
FACTEUR DE CHUTE
TIRANT D’AIR
EFFET PENDULAIRE
L’effet pendulaire est un risque survenant lorsque le point d’ancrage n’est pas situé directement au-dessus de l’utilisateur lors de sa chute. Le mouvement de balancier ainsi créé représente un risque sérieux de heurter un obstacle ou une structure adjacente.
LE SYNDROME DE SUSPENSION
DESCRIPTION
Même bien équipé et bien formé, un travailleur en hauteur reste confronté à un risque important après l’arrêt de sa chute.
Sans sauvetage rapide, il sera très vite confronté au choc orthostatique, plus communément appelé Syndrome du Harnais (S.d.H.).
Les sangles des cuisses compriment les veines, entrainant l’accumulation du sang dans les jambes. Une telle compression réduit la circulation de sang oxygéné vers son coeur, ses reins et son cerveau.
Bien que chaque individu réagisse différemment, les études s’accordent à dire que la suspension prolongée dans un harnais et l’absence de mouvement peuvent engendrer une perte de connaissance en quelques minutes et un décès en absence de prise en charge adéquate dans les 30 minutes.
À ce titre, le syndrome du harnais constitue une urgence médicale absolue et nécessite une prise en charge médicale adaptée, pour éviter les risques liés à la dé-suspension (un afflux du sang au niveau du coeur).
PREMIERS SYMPTÔMES
sensations de malaise, sueurs, nausées, vertiges et une accélération du pouls.
FACTEUR AGGRAVANTS CONNUS
antécédents cardiaques, déshydratation, hypothermie, épuisement, immobilité.
SOLUTION
Pour éviter le syndrome du harnais et gagner du temps pour la mise en place du plan de sauvetage, utilisez des sangles anti-traumatisme de suspension.
LE RISQUE DE CHUTE D’OBJET
Un casque industriel est testé pour absorber les chocs et résister à la perforation mais n’offre qu’une faible protection contre le risque de chute d’objet.
- L’impact généré par un outil en chute libre est considérable.
- Les objets ne tombent pas que sur la tête !
- Les objets peuvent rebondir, il est impossible de prévoir leur trajectoire, donc de délimiter des zones à risques.
CONSÉQUENCE D’UNE CHUTE D’OBJET:
Conformément aux principes généraux de prévention, IL EST ESSENTIEL DE SÉCURISER SES OUTILS pour empêcher leur chute, plutôt que d’essayer d’en limiter les conséquences.
Les chutes d’objet figurent parmi les 3 principales causes de blessures sur un chantier.
SOLUTION
Ne comptez pas seulement sur votre casque pour vous protéger de la chute d’objet, ATTACHEZ VOS OUTILS ! Utilisez des longes à outils
ENTRETIEN, INSPECTIONS ET MAINTENANCE
ENTRETIEN & STOCKAGE
- STOCKAGE
Stocker les EPI antichute dans un local ventilé, à l’abri des rayons ultraviolets, de l’humidité et d’atmosphères corrosives, de préférence dans des casiers ou armoires à outils.
- NETTOYAGE
Nettoyer les sangles et composants métalliques à l’eau savonneuse, ne pas utiliser de solvant chimique. Laisser sécher à l’air libre à l’abri du soleil et de toute source de chaleur.es
EN CAS DE CHUTE
En cas de chute, mettre au rebut systématique TOUS les EPI de la chaîne d’assurage et vérifier l’ancrage dans le cas d’un ancrage fixe ou ligne de vie permanente. Certains équipements comme les antichutes à rappel automatiques câble pourront être réparés par notre centre de maintenance
MAINTENANCE
Si les équipements textiles comme les harnais, les longes, les cordes, ou bien des produits métalliques comme les connecteurs / mousquetons ne peuvent être réparés, les appareils mécaniques et certains produits peuvent être entretenus pour garantir une performance optimale, et être réparés.
Les EPI antichute ne doivent en aucun cas être démontés, modifiés ou réparés par l’utilisateur. Toute maintenance doit être réalisée par un centre de maintenance agréé par le fabricant.
- Les antichutes à rappel automatiques à câble ou sangle de 6m et +
- Les trépieds
- Les treuils
Contactez-nous pour la maintenance ou réparation de vos Antichutes mécaniques.
INSPECTIONS
A) VÉRIFICATION AVANT UTILISATION
Un contrôle visuel doit être fait avant chaque utilisation par l’utilisateur lui-même. Il consiste à analyser l’état d’usure général selon certains critères en fonction du type de matériel.
Au moindre doute sur l’état d’un EPI, se référer à une personne compétente et si le doute persiste, le mettre au rebut.
B) VÉRIFICATION PÉRIODIQUE
POURQUOI ? Le cadre réglementaire
Les Equipements de Protection contre les chutes de hauteur doivent faire l’objet de vérifications périodiques tous les douze mois au plus. C’est une obligation de la norme EN365 « Équipements de protection individuelle contre les chutes de hauteur – Exigences générales pour le mode d’emploi, l’entretien, l’examen périodique, la réparation, le marquage et l’emballage » ; ainsi qu’une de nos exigences de fabricant.
Cette obligation pèse sur l’utilisateur.
QUOI ? Les produits à vérifier
TOUS les EPI Antichute sont soumis à une inspection réglementaire, donc tous nos Antichutes Coverguard sont concernés : Harnais de sécurités – Longes – Antichutes mobiles sur corde – Antichutes à rappel automatique à sangle et à câble – Connecteurs et mousquetons – points d’ancrages – Trépieds et treuils pour espace confiné.
QUAND? La fréquence
Au moins une fois tous les 12 mois. Le délai des 12 mois court à partir de la date de 1ère utilisation qui doit bien être renseignée dans le registre de sécurité. En l’absence de trace de date de mise en service, c’est la date d’achat ou de fabrication qui sera prise en compte.
Ce contrôle est documenté et enregistré. Nous recommandons de faire inspecter ses EPI Antichute au moindre doute et après une utilisation intensive.
QUI ? Une personne compétente
Selon la EN365 : “Une personne qui a connaissance des exigences en vigueur concernant les examens périodiques et des recommandations et instructions du fabricant applicables au composant, sous-système ou système à vérifier.”Nous réalisons la vérification de nos Antichutes, contactez votre interlocuteur Coverguard.
LES DIFFERENTS SYSTÈMES DE PROTECTION ANTICHUTE
SYSTÈME DE RETENUE
Un système de retenue est conçu pour éliminer le risque de chute en limitant les mouvements de l’utilisateur afin de l’empêcher d’atteindre une zone présentant un risque de chute. La longueur de la longe et l’emplacement du point d’ancrage doivent être déterminés de telle sorte que l’utilisateur ne puisse pas accéder à la zone à risque.
Ce système est le plus sûr des systèmes présentés ici pour des raisons évidentes : si le risque de chute a été éliminé, le risque de blessure pendant l’arrêt de la chute et le besoin de sauvetage ont aussi été supprimés.
Il est important de s’assurer que le système de retenue limite les déplacements de l’utilisateur vers toute autre zone à potentiel risque de chute. Attention, les équipements de retenue ne sont pas conçus pour arrêter une chute.
SYSTÈME D’ARRÊT DE CHUTE
Ces systèmes arrêtent une chute si elle se produit, et assurent la suspension de l’utilisateur après l’arrêt de la chute.
Ils sont toujours composés d’un point d’ancrage, d’un harnais antichute et d’un élément de liaison limitant les efforts dans le corps (absorbeur d’énergie) connecté au harnais par le point d’accrochage A.
L’utilisation d’un système d’arrêt de chute nécessite l’anticipation d’un plan de sauvetage pour récupérer la personne après la chute.
SYSTÈME DE MAINTIEN AU POSTE DE TRAVAIL
Ces systèmes apportent un soutien pour travailler en appui : l’individu ne peut pas glisser ou tomber en contrebas de la zone où il travaille.
Utilisés typiquement sur des structures verticales comme des pylônes pour avoir les mains libres pour travailler.
Il est nécessaire d’utiliser, conjointement avec ce système un système d’arrêt de chute.
TRAVAIL EN SUSPENSION
Techniques d’accès aux moyens de cordes. Les systèmes de suspension sont généralement utilisés pour atteindre des endroits difficiles d’accès comme des falaises, antennes…
Ils ne doivent pas constituer un poste de travail sauf lorsque des équipements de protection collective ne peuvent être mis en oeuvre (exemple le nettoyage de façade difficile d’accès).
TRAVAIL EN ESPACE CONFINÉ
Systèmes pour sécuriser l’accès à des espaces confinés comme des égouts, trous d’homme, fosses etc.
La personne lors de sa descente est sécurisée contre le risque de chute et peut rapidement être remontée par un second opérateur au moyen d’un treuil.
Un système d’espace confiné consiste typiquement d’un trépied, antichute et treuil de sauvetage.